CA du 7 sept 21

CA du 7 septembre 2021

Personnes présentes : Marc Barisone, Michel Lentz, Serge Neria. Personnes excusées : Rosette Amen, George Pin, Daniel Caro.

Marc Barisone, le Président, nous informe d’une part du non renouvellement de la cotisation par Roger Riollet, et d’autre part du peu de contacts grâce au site internet. Par ailleurs, ces contacts ne sont pas suivis d’effet.

Le programme des sorties jusqu’au 23 janvier 2022 est établi à raison de deux sorties par mois les 2éme et 4éme dimanche du mois.

12 / 09 Passerelle de Hautpoul
26 / 09 Cabane d’Artigue
10 / 10 Roc de la Gourgue
24 / 10 Belcaire
14 / 11 Durfort
28 / 11 Sorèze
12 / 12 Château de Miramont
09 / 01 Montolieu
23 / 01 Montjardin
  • La sortie 3 jours de la pentecôte (du 4 au 6 juin) est maintenue. Elle se fera dans l’Aveyron : Gîte « Evolution » route de la Cresse 12270 Peyreleau
  • Une sortie de 2 jours au refuge des étangs de Bassiès est également programmée les 23 et 24 juillet. Accès par de col de Saleix, puis le port de Bassiès.
  • Une sortie bivouac sur 2 jours est prévue au pied du cirque d’Embas (ruisseau de la Courbière). La date reste à définir.Site InternetNotre site nécessite une mis à jour générant un changement de thème.
    Par ailleurs, la protection du site, si nous décidons de s’y abonner, présente un surcoût de 45€ par an. Soit un Total de 105€.Si la mise à jour impose une refonte du site, il est peut être préférable de s’abonner auprès d’un autre hébergeur tel que OVH, qui assure l’hébergement et la protection pour 70€ par an.Prochaine AG prévue le 2 octobre.
    Le site retenu est celui de « La Cantine du prieuré » à Lézat sur Lèze (réunion + repas). Michel Lentz a pris en charge la réservation auprès de cet organisme.Le Président Le Secrétaire



CA du 3 juin 21

CA du 03.06.2021

Marc
Barisone 
<raa.31190@g mail.com>

3 juin 2021

22:48 À Daniel, Daniel, Georges, Michel, Rosette, moi

Bonsoir le CA
La situation redevient normale, nous pouvons reprendre notre fonctionnement habituel. Je vous soumets un projet de calendrier pour la fin du premier semestre.
Le bivouac de la Pentecôte pourrait se dérouler le samedi 11 et dimanche 12 juillet. Nous pourrions demander aux adhérents s’ils sont favorable pour rajouter le lundi 13 juillet.
Il faudra assurer l’accompagnement des randos du 27/06; 25/07 et 29/08 je serai en vacances par monts et par vaux.
J’attends votre avis et votre disponibilité avant de le diffuser.
Je compte l’envoyer aux adhérents rapidement.Merci.
Bonne soirée

Serge <serge.neria@gmail.com> ven. 4 juin 07:50
À Marc

Bonjour Marc. Ok pour moi.

Marc Barisone <raa.31190@gmail.com>

ven. 4 juin 12:00

À cci : moi

Bonjour,
Nous reprenons le fonctionnement habituel de deux sorties par mois le 2ème et 4ème dimanche .
Ci-joint le calendrier des sorties jusqu’à août.
Nous avons prévu un bivouac (le même que celui de la Pentecôte) le samedi 11 et dimanche 12 juillet. Nous proposons d’inclure le lundi 13 juillet si vous le souhaitez.
Je vous demande de vous positionner sur un bivouac de deux ou trois jours.Nous nous adapterons au désir de la majorité.

Le Secrétaire Le Président




CA du 19 sept 20

Conseil d’Administration (CA) du 19 septembre 2020.

Présent(e)s : Marc Barisone, Georges Pin, Serge Neria, Michel Lentz, Sylvie Petitjean, Rosette Amen,

Excusé(e)s : Danielle Gaydan, Roger Riollet.

Ordre du jour : Renouvellement des membres du CA.

Il a été procédé au renouvellement des membres du CA par tiers. Danielle Gaydan, Roger Riollet, Sylvie Petitjean (secrétaire), quittent le CA.

Michel Lentz, Daniel Caro, intègrent le CA.

Serge Neria se porte volontaire pour tenir la fonction de secrétaire. Proposition adoptée à l’unanimité des membres.

Prochain CA : 2emequinzaine de décembre.




CA du 31 janv 20

COMPTE RENDU CA du 31/01/2020

Présents : Marc BARISONE, Georges PIN, Danielle GAYDAN, Roger RIOLLET, Serge NERIA, Michel LENTZ, Sylvie PETITJEAN

Ordre du jour : Création du site internet de RAA

Hébergeur du site : e-monster.com

Coût : 60 € TTC par an

Ce site comportera un accès privé pour les adhérents qui pourront consulter les photos, les comptes rendus (CR) des AG.

Les CR des CA seront mis en ligne sur le site. Ils ne seront pas accessibles au grand public, mais seulement aux membres du CA. De même pour les CR du bureau qui ne seront accessibles qu’aux membres du bureau. Il n’y aura pas de photo d’adhérents.

Chaque adhérent disposera d’un identifiant et d’un mot de passe personnel.

Une nouvelle adresse mail du club a été créée : raa.39190@gmail.com

Il est décidé :

– de mettre les photos sur le DRIVE lié au compte Google de l’association,

– que Serge NERIA et Marc BARISONE seront les administrateurs du site.

– qu’un adhérent non à jour de ses cotisations, ayant démissionné, radié par le CA, verra son droit d’accès au site supprimé par les administrateurs.

Le CA valide la dépense liée à la mise en place du site (60 euros TTC par an) ce qui conduira l’association à limiter ses financements de « pots » aux adhérents lors des weekends de randonnée ou lors de l’AG.

La mise en conformité de l’association avec le RGPD (règlement général sur la protection des données) sera traitée au prochain CA.




CA du 19 sept 20

Conseil d’Administration (CA) du 19 septembre 2020.

Présent(e)s : Marc Barisone, Georges Pin, Serge Neria, Michel Lentz, Sylvie Petitjean, Rosette Amen,

Excusé(e)s : Danielle Gaydan, Roger Riollet.

Ordre du jour : Renouvellement des membres du CA.

Il a été procédé au renouvellement des membres du CA par tiers. Danielle Gaydan, Roger Riollet, Sylvie Petitjean (secrétaire), quittent le CA.

Michel Lentz, Daniel Caro, intègrent le CA.

Serge Neria se porte volontaire pour tenir la fonction de secrétaire. Proposition adoptée à l’unanimité des membres.

Prochain CA : 2emequinzaine de décembre.




Administration

 

Bureau  
Président Marc Barisone
Secrétaire Serge Neria
Trésorier Rosette Amen
Conseil d’administration
Marc Barisone
Rosette Amen
Serge Neria
Michel Lentz
Daniel Caro
Accompagnateurs N° mobile
Marc Barisone 06.31. 94.41.49
Georges Pin 07.85.94.41.27
Michel Lentz 06.12.38.80.48
Serge Neria 06.89. 95.23.95

 




Maladie de Lyme : mieux prévenir

Face à une explosion de maladies de Lyme, transmises par les tiques, le gouvernement a édicté un plan national de lutte (2016) et la Haute Autorité de Santé a publié des recommandations (2018). Les sociétés savantes médicales et les associations de patients n’en sont pas satisfaites. Assertions faussées par les émotions et déclarations publiques se multiplient. Corrigeons le tableau.

Santé publique France annonce une augmentation du nombre de cas de maladie de Lyme en 2019 : soit 84 cas pour 100 000 habitants. Les 60-70 ans sont nombreux, reflétant leur fréquentation accrue des sentiers. Les zones les plus touchées son l’Alsace le Limousin et la région Rhône-Alpes.

Des signes différents selon l’espèce bactérienne

Transmise par une piqûre de tique uniquement et une seule famille de tiques (Ixodes ricinus), la maladie de Lyme est due à la bactérie Borrelia burgdorferi. Plusieurs espèces proches provoquent des « borrélioses de Lyme » au sens large, qui s’expriment diversement selon la variété bactérienne. Une récente publication française le démontre : il y a (ou non) une atteinte neurologique, articulaire ou simplement cutanée. La salive de la tique joue aussi un rôle dans la vitesse de l’infection et le type d’organes touchés.

Les borrélioses évoluent en trois stades. Seul le premier stade, local, est visible : « l’érythème migrant ».

Dans le cas contraire, les borrélies disséminent dans l’organisme en provoquant des réactions inflammatoires parfois graves : articulaires et musculaires, cardiaques, des nerfs et des méninges qui miment une sclérose en plaques ou une paralysie faciale.

Gare aux méprises et aux excès

L’érythème migrant pris pour une simple piqûre d’insecte est négligé par les patients et les médecins pressés. Cela alimente la peur rétrospective d’une borréliose méconnue. En cas de malaise persistant, cela mène vite au soupçon de maladie de Lyme. Une équipe française a montré que, dans un groupe de personnes en errance diagnostique, seules 10 % d’entre elles avait une borréliose réelle. La bonne attitude est donc de s’adresser à des experts en cas de doute pour un diagnostic exact et un traitement adapté. Selon les recommandations de la Haute Autorité de santé en juin 2018, au stade local d’érythème migrant, la maladie se traite par 14 jours d’antibiotique. Les traitements plus long sont du ressort des spécialistes, car ils provoquent des résistances bactériennes et des surinfections dangereuses. Pour rassurer les inquiets : la maladie de Lyme neurologique (la plus inquiétante) n’entraîne pas plus d’hospitalisations ou de décès chez les patients que dans la population générale. Enfin, il ne faut pas trop espérer d’un traitement antibiotique. Tardif, il n’annule pas la réaction inflammatoire provoquée par la bactérie si elle trop engagée.

Etirer toute tique dans les 12 h de son accrochage

Chez Ixodus ricinus le taux d’infection par Borrelia burgdorferi en France est de 10 % pour les nymphes et de 20 % pour les adultes. L’Alsace et la Lorraine sont les foyers les plus importants, avec extension progressive au Nord, au Centre, à l’Auvergne-Rhône-Alpes. Aucune région ne sera à terme exempte de tiques infectées; les mesures de prudence sur tout le territoire métropolitain son donc impératives. 

Le risque infectieux est dit « faible » dans les premières 24 heures du repas de la tique, « sérieux » au-delà des 48 heures, « certain » après 72 heures…si germes il y a dans la tique !

Toutefois la transmission de la Borrelia peut-être plus rapide. La nymphe peut infecter sa victime dès la 12e heure d’accrochage et, l’adulte dès la 24e heure de son repas. En conséquence, il faut les décrocher rapidement en inspectant sa peau régulièrement lorsqu’on randonne (matin et soir), sans oublier les cheveux, les plis, même les plus intimes. La douche, le changement de vêtements et les pauses sont de bons moments pour s’inspecter, avec de l’aide pour les parties difficiles à voir.

Retirer correctement une tique

– Avec un tire-tique, deux modèles en fonction de la taille du tique.

Le moyen le plus approprié pour enlever la tique est le « tire-tique ». Le « tire-tique » ne porte pas très bien son nom, puisqu’il ne faut pas « tirer » mais « dévisser » la tique.

Il faudra ensuite surveiller la zone concernée et, en cas de rougeur, consulter son médecin.

 

– En faisant un nœud serré sous la tique au plus près de la peau avec un fil de couture ou un cheveux fin assez long, qu’on tire ensuite dans l’axe du rostre de la tique.

– Ne pas oublier de désinfecter la morsure avec un antiseptique.

Les autres techniques ont le défaut d’être inopérantes ou régurgitantes ou invérifiées. En particulier la pince à épiler, elle stresse la tique qui régurgite plus de salive où se collectent les bactéries qu’elle transmet : le risque infectieux est accrû. Toutes les tiques ne sont pas infectées donc infectantes. Et si vous retirez rapidement la tique son repas sera trop court pour une transmission de bactéries.

Le coin du naturaliste

Acariens en expansion naturelle pour cause de réchauffement climatique et de modification de la faune cible. Les tiques s’attaquent désormais souvent à l’Homme. Elles peuvent transmettre plus d’un agent infectieux, en dehors de la maladie de Lyme.

Ce sont des arthropodes hématophages qui piquent ou mordent leur proie avec un rostre dur pour en sucer le sang. Les tiques dures parasitent les mammifères et les tiques molles parasitent les oiseaux. Chez les tiques dures, le genre Ixodes prédomine en France. Au sud, le genre Dermacentor, très présent remonte au Nord avec le réchauffement climatique. Ayant besoin d’humidité pour survivre, les tiques affectionnent les pénombres humides (forêt, bosquet, friche), mais aussi la chaleur pour se reproduire; elles s’activent au printemps avec la pluie et le retour du soleil.

Les oeufs de tique donne des larves qui se transforment en nymphes plus agiles, puis en adultes encore plus agiles et désireux de se reproduire. Cette croissance en trois stades ou Stases (en 2 à 4 ans pour un cycle reproductif total) nécessite de l’énergie que les tiques trouvent dans les 3 longs repas sanguins : un à chaque stade, qui dure de 4 à 10 jours.

Plus la bestiole est petite, plus elle est sensible à l’ assèchement de l’atmosphère durant la journée et moins elle grimpe haut sur les herbes, plantes et arbustes pour se mettre à l’affût. Elle y attend qu’une proie passe sur laquelle elle se laisse tomber ou rampe; puis elle s’accroche pour investir les zones corporelles, humides, tranquilles chaudes. Les animaux qu’elle pique son logiquement plus grands avec le temps et ses repas plus copieux et plus long (de 7 à 10 jours pour les femelle en phase de ponte) avant de lâcher prise et de tomber à terre.

La prévention individuelle

Évitez de sortir en forêt, friche, zone sauvage, lors des pics d’activité des tiques (été et automne)Pas simple pour les randonneurs.

Portez des vêtements couvrants serrés au cou, aux poignets et aux chevilles, (mettre le bas du pantalon dans les chaussettes par exemple), clairs (pour repérer rapidement les tiques), des chaussures fermées.

Pas de cheveux flottants et portez un chapeau.

 Pulvérisez un répulsif sur les vêtements ou sur la peau (sauf femme enceinte et petit enfants). Marchez au milieu des chemins, évitez le contact des branches basses.

Inspectez-vous souvent et minutieusement : les vêtements puis toute la peau. Demandez de l’aide pour les zones inaccessibles à votre regard

Lavez illico vos vêtements pour exclure tout tique cachée, dès le retour de la promenade.




AG du 14 Sept 2020

Personnes présents et représentées :

BARISONE MARC, BARISONE Annie, CARO Daniel, DABOT Maryse, DABOT Alain, DONADI Rosette, LENTZ Sylvie, LENZ Michel, NERIA Serge, PETITJEAN Sylvie, PHILLIPE Nathalie, PIN Claudie, PIN Georges, CORNUS Marie-Ange, PEDOUSSAUT Irma.

GUEYDAN Danielle : pouvoir donné à Sylvie PETITJEAN

Présentation et vote du rapport moral du président

2019/2020 a été une drôle de saison !


E
n 2019 les randos se sont enchaînées sans difficulté, la progression allait crescendo, le calendrier de nos sorties a été établi avec minutie pour avoir un bon pic de forme pour la Pentecôte et atteindre la condition physique optimum pour gravir le Piménée. Même la météo était favorable pour atteindre l’objectif.
Mais voilà, la covid s’est répandue sur notre planète et tout s’est désorganisé.
Nous sommes entrés brusquement dans l’ère du confinement. Plus d’activité, plus de lien social, plus de rando, reclus dans nos maisons, nous rêvions de ces grands espaces !
Pendant cette période nous avons découvert une chose inconnue de nous tous jusqu’alors : une permission de 1h00 de sortie journalière en s’auto signant un bon de sortie.
Lourde responsabilité qui nous tombait dessus, avions-nous les compétences et la formation nécessaires pour prendre ce type de décision?
Avions-nous la capacité de gérer ce nouveau pouvoir et d’endosser de but en blanc cette responsabilité ?
Ce n’est pas aussi simple que ça, de s’autoriser à sortir.
Si par exemple je m’autorise à sortir et qu’il m’arrive un accident ou que je provoque un accident qui est responsable ?
Celui qui a signé l’autorisation ou celui qui en avait l’autorisation ?
Vous me direz, ce n’est pas important puisque c’est la même personne mais ce n’est pas si simple. Certes c’est la même personne mais pas la même fonction, l’un est décideur et l’autre est exécutant et le niveau de responsabilité n’est pas identique.
Cela peut entraîner des tensions entre le décideur et l’exécutant, un conflit grave entre moi et moi et nous voilà au cœur du trouble dissociatif de l’identité. Chose que le gouvernement n’avait pas anticipé, mais celui-ci a vite compris son erreur et a supprimé ce document.
Alors est venu l’autre dispositif. 
On pouvait se déplacer à 100 km de chez nous, oui mais, ça fait jusqu’où 100km surtout s’il y des virages. Pas d’inquiétude, bien des sites sur le Web, proposaient une application permettant de visualiser cette fameuse zone.
Pour nous RAA c’était un grand soulagement car nous avons pu de nouveau, arpenter la montagne.
Premier WE de liberté direction vallée de Najar, où nous avons enfin retrouvé les sentiers, les senteurs des bois, les paysages de montagne, l’effort physique, ce sentiment de liberté qui nous avait tant fait défaut.
Premier repas sorti du sac, assis tous à bonne distance, quelle quiétude !
Mais voilà, les vaches elles aussi, ont subi le confinement et n’avaient pas vu de bipèdes depuis longtemps.
Le troupeau s’est invité parmi nous, nous obligeant à opérer un repli stratégique sur les hauteurs.
Puis est arrivée la liberté de circulation, les citadins ont repris leurs habitudes (direction la plage) et nous pour palier l’annulation du Piménée, avons décidé dans le cadre du club, de faire un bivouac, une première pour le club et pour certains adhérents.
J’ai pensé que l’affaire risquait d’être compliquée.
Première étape, déterminer le nombre de participants, entre ceux qui étaient partants, ceux qui hésitaient ceux qui disaient oui puis non !
Cela a pris un peu de temps.
Ensuite est venu le temps de recenser le matériel de bivouac, qui a une tente ? Combien de places ? Qui a un sac de couchage assez chaud ? Qui dort avec qui ?
Dernière étape qui amène quoi ?
Et comme d’habitude tout s’est déroulé sans encombre, chacun y mettant du sien.
La réalisation du projet a été rapide et parfaite. Ce bivouac restera un moment fort du club.
Camper en pleine nature permet de partager de beaux moments à la fois simples et enrichissants.
L’entraide dans le montage des tentes, le partage au moment de l’apéro et du repas, le feu de camp lorsque la nuit tombe, la nuit un peu agitée dans le sac de couchage, le réveil au petit matin humide et frais marqueront les esprits.
Les taons, les moustiques et la salle de bain très sommaire n’ont pas assombri le tableau.
Si la vie est marquée de petites joies simples et profondes en voici une.
Un petit mot pour finir sur le départ de Danielle qui a fait partie du noyau dur qui a structuré le club RAA d’aujourd’hui et sans ces rebelles de la première heure nous ne serions pas là.
Merci Danielle je te souhaite des belles aventures dans ton nouveau club.
Sylvie quitte non pas le club mais son statut de secrétaire. Je respecte son choix. Sylvie est la plus ancienne du club, elle a créé l’association avec l’ancien président, elle est à l’origine des statuts, du règlement, de la philosophie de RAA. Elle m’a poussé à prendre la présidence, elle m’a aidé, guidé, cadré dans cette fonction.
Sans Sylvie, RAA n’existerait pas. Nous pouvons tous lui dire un grand merci.
Le rapport moral est approuvé par la totalité des personnes présentes et représentées.




12.12.21 Bénitiers de Monze

Les Bénitier de Monze  et le château de Miremont (11)

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11-Les Bénitiers-Miramont 12/12/2021

Ci-dessous les principales caractéristiques topographiques de la randonnée.

Départ Nom Trajet
Monze Bénitiers et château de Miramont 1h30
Rando Km Dénivelé Alt IBP
12 496 452 60

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